Quand j’entends le mot blondies, je ne sors pas ma balance (même si ce n’est pas le truc le plus light sur terre) mais je pense à la chanteuse Blondie et à son fameux et très années 80 Call me (j’en ai profité pour visionner le clip que je n’avais jamais vu et dont on peut déduire que la chanteuse adore se rouler sur des canapés ronds et s’habiller en bleu canard et aussi qu’elle a très très envie qu’un gars l’appelle ..aujourd’hui elle crierait plutôt Tweet me, ou love me Tinder). Tout ça pour vous dire que j’ai ouvert le tout nouveau et gourmand livre My lovely cakes de Laureline et choisi de tester ses blondies (une déclination des brownies) au chocolat blanc et à la vanille.
Ingrédients
100 g de beurre demi sel
150 g de sucre roux
1 oeuf
150 g de farine
100 g de pépites de chocolat blanc
une gousse de vanille
Et maintenant qu’est ce qu’on fait ?
Préchauffez votre four à 150° (th 5).Dans le bol d’un robot ou d’un saladier, mélangez le beurre à température ambiante (et coupé en petits dés) et le sucre roux jusqu’à l’obtention d’une texture crémeuse. Ajoutez l’oeuf puis la farine et les pépites de chocolat blanc. Mélangez à nouveau. Grattez les grains d’une gousse de vanille et incorporez dans votre pâte.
Versez votre pâte dans un moule carré beurré (ou tapissé d’un papier cuisson), uniformisez à l’aide du dos d’une grande cuillère. Laissez cuire 20 minutes environ (25 dans mon cas ). Comme pour les cookies, le biscuit finit de cuire hors du four, ne le laissez donc pas trop. Il doit être bien moelleux à l’intérieur et croustillant à l’extérieur. Idéalement dégustez les blondies le lendemain seulement.
C’est un goûter facile et rapide à réaliser (Laureline propose une autre version avec des pépites de chocolat au lait et des pistaches si vous n’êtes pas fan du chocolat blanc) avec une liste d’ingrédients qu’on a souvent chez soi sans avoir besoin de ressortir faire des courses et c’est bon ! (le genre de biscuit qu’on coupe en petits morceaux pour pouvoir en reprendre une seconde fois).
J’ai sélectionné une recette simple du livre My lovely cakes (éditions de la Martinière) mais à vrai dire toutes semblent accessibles (pas trop d’étapes, pas d’ingrédients de pro) des cupcakes divers et variés aux layer cakes et autres gros gâteaux en passant par les whoopies. Laureline nous donne aussi quelques astuces comme recouvrir de pâte à sucre un gâteau, comment faire un glaçage bicolore ou remplir une douille sans en mettre partout par exemple.
Page après page, j’ai retrouvé l’univers fifties présent dans le salon de thé Laureline’s corner aussi bien dans la mise en scène des photos que dans les illustrations de sa soeur Sibylline Meynet …l’ensemble est gourmand, régressif : pas de doute je vais piocher souvent parmi les 80 recettes pour mettre de la douceur et de la couleur dans les mois à venir.
20 Comments
Tu me donnes envie d’aller jeter un œil à ce livre qui a l’air très joli !
si tu croises sa route, n’hésite pas à aller le feuilleter, il donne envie de s’attabler pour un goûter gourmand
« Idéalement dégustez les blondies le lendemain seulement. » Mais personne ne fait ça, si?!!?? 🙂
c’est compliqué en effet de ne pas les toucher du tout …je te propose un compromis : tu en goûtes un morceau le jour où tu les fais MAIS tu en gardes pour le lendemain (parce qu’ils sont vraiment encore meilleurs le lendemain)
Pour l’avoir feuilleté à nouveau ce week-end, je suis entièrement d’accord avec toi les recettes sont vraiment accessibles, à tel point qu’on a envie de toutes les tester. Quant aux illustrations de Sibylline Meynet elles apportent vraiment ce petit truc en plus qui fait que tu es obligé de craquer et d’acheter My Lovely Cakes. Quant aux Blondies je pense aussi n’en faire qu’une bouchée 🙂
j’en ai déjà cocher d’autres à tester et j’ai fait son layer cake aux pépites de chocolat que ma fille a beaucoup aimé !
Ah ben moi Blondie ça me fait penser à Maria que je chantonne depuis que j’ai vu ton titre de billet 😀
Mais il n’est pas dit que Call me ne le remplace pas sous peu.
Par contre le chocolat blanc je suis pas fan, et je ne me souviens pas vraiment en avoir déjà mangé dans un dessert où on le sente vraiment.
Faudrait peut être que j’en teste un autre que le Galack avec Oum le dauphin non ?
à chacun ses références musicales ))
par contre oublie le galack ce n’est pas un chocolat blanc à cuisiner (et ne va pas résister correctement à la cuisson, donc tu ne sentiras aucune pépite en sortant tes blondies du four). J’ai utilisé le chocolat blanc à pâtisser de Nestlé et le top c’est l’ivoire de Valrhona (mais je n’en avais plus). Sinon tu peux toujours remplacer le chocolat blanc par du chocolat au lait mais là encore pas du chocolat de dégustation mais du chocolat à cuisiner (toujours Nestlé dans la même gamme par exemple )
Je découvre ! merci.
de rien )
Il ne faut pas que je passe sur ton blog, dans des moments de faiblesse (comme vers 16H)… Ah ce blondie, bon en attendant je viens de finir mes muffins choco Bonne Maman 🙁
16h ça peut être une heure critique )
J’adore les blondies!
tu en as déjà ?
Le nom « blondies » me plait déjà mais ce type de dessert avec du chocolat blanc je tenterais de vouloir attendre le lendemain! mais ma volonté ne tiendrait jamais jusque là 😉
mais si mais si tu le planques c’est tout ) (et puis bon tu en goutes un petit bout le jour même )
Je goûterais bien. 🙂
Bises
merci : )
WAOUH!! ça doit etre trop bon!!
c’est très vite parti en tous cas ))