Dimanche dernier j’ai zappé le billet « 10 photos dans mon smartphone », j’avais passé une semaine où j’avais du encaisser pas mal de contrariétés et j’avais besoin de « digérer » mais me revoilà avec quelques morceaux de ciel bleu (rares, il faut vite se précipiter dehors pour en profiter en ce mois de février pluvieux) et avec un billet qui part dans tous les sens.
Je suis d’humeur florale en ce moment même si il y a rarement des fleurs chez moi. Mes fleurs préférées ce ne sont pas les tulipes mais les renoncules (je dis ça à tout hasard ))
J’ai reçu ces boucles d’oreille à Noël mais je ne les avais encore jamais mises car elles n’avaient rien pour les retenir derrière (j’ai finalement trouvé des petits embouts plastique sur une autre paire chez moi) et j’ai déjà perdu une boucle en enlevant un vêtement de cette manière. Petit message de service à la boutique Les Naïades : j’aime beaucoup vos bijoux mais prévoyez un embout à vos boucles pendentifs.
Lorsque j’étais petite, je n’étais pas très douée en dessin. Je me souviens que lorsqu’il fallait illustrer des poésies, cela finissait entre les mains de ma mère (les instits ne devaient pas être dupes). Quelques décennies plus tard je suis toujours aussi mauvaise en dessin et plus généralement en DIY mais je découvre plein d’activités créatives par le biais de ma fille qui a une patience d’ange lorsqu’il s’agit de fabriquer, peindre, colorier, dessiner.
Dernière découverte : les dessins à gratter de Djeco, cadeau de Noël (encore) qu’elle n’avait pas ouvert jusqu’à présent. Au début je ne comprenais pas trop pourquoi c’était indiqué pour les enfants de 7 à 13 ans (diantre pour gratter avec un stylo ?) mais en fait il ne s’agit pas de gratter bêtement partout, il faut aussi reproduire certains motifs.
Note pour la prochaine fois : ne pas proposer à la Miss cette activité un soir de semaine parce qu’une fois qu’elle a commencé, elle veut aller jusqu’au bout ! En tous cas, c’est une bonne idée pour occuper les enfants pendant les vacances (qui ont commencé vendredi soir à Lyon).
Quand on a deux mains gauches, dessiner sur la mousse de café c’est ambitieux. Heureusement lors de la soirée d’inauguration de l’espace Cook & Coffee, le barista qui a dévoilé quelques secrets du latte art m’a aidé pour former un petit cœur ballon dans ma tasse.
La verrine aux agrumes par contre c’est moi qui l’ai fait. Bon ok seulement le dressage, puisqu’avant la plupart des étapes de la panna cotta à la crème de citron en passant par la marmelade ont été effectuées par le robot Cooking Chef de Kenwood.
Sur mon plan de travail aujourd’hui, j’ai un robot pâtissier (pas une grande marque), un blender et un appareil qui tranche et râpe les fruits et les légumes. Le Cooking Chef remplace tout ça et en plus c’est un robot cuiseur (c’est un peu comme si le bol se transformait en une grande casserole où vous pouvez préparer des risottos, des viandes mijotées par exemple). Réputé pour sa robustesse, le Cooking Chef apparait comme la Rolls Royce des robots de cuisine (avec un encombrement pas dément étant donné toutes ses fonctionnalités).
Si vous avez un Cooking Chef chez vous (ou que vous projetez d’en acheter un) et que vous avez besoin d’un peu d’aide pour la prise en main, l’espace Cook & Coffee situé dans le 6ème arrondissement à Lyon, à deux pas du métro Foch, propose des cours de découverte et des cours de cuisine/pâtisserie avec ce robot dans son espace démo. Cette boutique a aussi un corner café De’Longhi (là où je me suis lancée dans une carrière artistique immédiatement avortée avec la mousse de café).
J’ai commencé à regarder la série Flesh & Bone qui se déroule dans l’univers de la danse (qui m’a toujours fasciné) et plus précisément au sein d’une compagnie à New York. Pour l’instant j’ai trouvé la peinture un peu caricaturale : le chorégraphe mégalo et colérique, son assistante odieuse qui écarte une candidate juste parce qu’elle a trop de hanches, les danseuses qui se détestent toutes entre elles. C’est certain on est très loin de l’ambiance de Fame.
A priori, le personnage le plus intéressant est celui de cette jeune provinciale, Claire, qui débarque pour intégrer la troupe et dont on devine qu’elle porte un traumatisme familial. Je n’ai vu que le premier épisode et j’espère que les personnages vont gagner en nuances. En même temps, d’après le documentaire Relève (tellement dommage que Benjamin Millepied parte de l’Opéra de Paris), le monde professionnel de la danse parait assez « violent » et sans bons sentiments. La série ne dure que 8 heures, je vous en reparlerai donc bientôt.
Je ne suis pas un salaud sera probablement le prochain film que j’irai voir au cinéma. Ok j’avoue Nicolas Duvauchelle est un argument à lui tout seul et l’homme, un peu chafouin devant mes mines de midinette, m’a dit qu’il espérait que je réussisse à comprendre ce qu’il dise, l’acteur ayant tendance, selon lui, à marmonner (c’est petit non ? et puis on peut aimer les hommes qui marmonnent )).
Ne plus accorder autant d’importance aux mots et aux jugements des autres, cela doit être sacrément libérateur, surtout lorsqu’on est quelqu’un hyper (trop) sensible. Je vais essayer d’y travailler (en attendant ma technique c’est plutôt la fuite).
Voilà vous pouvez reprendre une activité normale ^^
4 Comments
Je note la série et j’attends ton avis après visionnage complet. J’avoue être assez hermétique au monde de la danse, classique du moins (je suis plutôt Glee club ^^)mais ça peut être intéressant de voir ça.
je te redirai ça (bon avec les vacances scolaires pas sûre d’avancer si vite que prévu ))
j’espère que tu vas mieux !
j’aime beaucoup les photos de Lyon, je ne connais pas encore cette ville 🙂
oui ça va merci : )
peut être qu’un jour tu viendras jusqu’à Lyon ?