S’il y a quatre visages de différentes couleurs sur la couverture de True Story (qui peuvent être aussi des montagnes), c’est parce que True Story suit la trajectoire de quatre jeunes américains confrontés au souvenir d’un même drame vécu à l’adolescence. Que s’est-il réellement passé ce soir là dans la voiture qui ramenait chez elle, Alice, 16 ans, ivre et inconsciente ? A-t-elle été abusée ou cette version qui s’est répandue comme de la poudre était-elle une très mauvaise blague…
Deux filles italiennes, très différentes de caractère, sont inséparables et malgré tous les aléas de la vie, vont rester présentes l’une pour l’autre. Là forcément vous pensez à Elena Ferrante et à sa saga L’amie prodigieuse. Sauf que La famille, premier roman de Naomi Krupitsky, ne se situe pas à Naples mais à Brooklyn dans le quartier de Red Hook. Sauf que ces gamines qu’on suit des années 1930 à 1948 ont des famille bien particulières, elles vivent de rackets…
Je n’ai pas de mémoire pour un certain nombre de choses et parmi ces choses, aucune pour les noms (alors que je me souviens très bien des visages). Ainsi lorsque j’ai vu « Fanny Ruwet » écrit sur la couverture du livre Bien-sûr que les poissons ont froid, je n’ai pas tilté. La couverture m’a plu, le titre aussi et encore plus le « pitch » à savoir « amour, humour et loose au temps du numérique ».Comme j’ai dévoré ce premier roman, je n’ai pas…
Dans quelques jours, le festival Quais du Polar est de retour avec comme thématiques cette année, le polar espagnol, le roman noir et le journalisme, le roman d’espionnage et une programmation très riche. J’aurais aimé avoir lu une sélection de polars d’auteurs présents mais ce n’est pas le cas. J’ai tout de même prévu de participer au festival (à au moins deux événements et j’espère que la météo nous permettra de faire la grande enquête) , voilà une sélection de…
Plus pour laisser une trace que pour me lancer dans une chronique détaillée, voici les 3 derniers livres que j’ai lus (depuis que je dessine tous les jours, je lis beaucoup moins !) Journal sans faim : Dans la tête d’une anorexique Si je devais énoncer des raisons qui me donnent envie de lire, je parlerai forcément de la possibilité grâce à eux de mieux comprendre ce qu’on n’a jamais vécu, parfois avec un point de vue qui reste extérieur,…
La première chose qui m’a scotchée dans le premier roman de Mathieu Persan, Il ne doit plus jamais rien m’arriver, c’est sa superbe illustration en couverture. En pâtisserie, je suis très sensible au visuel. C’est probablement vrai aussi en littérature, et c’est d’autant plus vrai depuis que je me suis mise au dessin et à la peinture. Les éditions P.O.L sont mal barrés, les couvertures avec un serpent inimaginables dans ma main ou sur ma table de chevet en bonne…