J’entends déjà les râleurs soupirer : après la fête des grands mères, la journée de la jupe, la journée de la femme, la journée de la gentillesse, voici une nouvelle journée : celle des petits plaisirs. Tant pis j’ai décidé que c’était un formidable prétexte : – pour glisser un sachet de dragibus dans mon sac, ça colle aux dents mais c’est tellement bon – de passer au marchant de tabac acheter une grande paille jaune avec de la poudre…
Même pas une semaine que j’ai repris le chemin de la fac et je me plains déjà. Je crois que j’avais mésestimé ce changement dans mon rythme de vie, que je ne m’étais pas préparée psychologiquement à ce basculement total malgré l’avant goût de cet été (des devoirs à réaliser pendant les vacances des enfants et entre deux départs). Le cerveau est un muscle, (copyright : Philippe Caillet quand j’ai exprimé mon affolement sur twitter) mais ce n’est pas vraiment…
Jeudi, j’ai ôté le badge et la clef de mon bureau de mon trousseau, j’ai mis dans un sac les quelques affaires personnelles que j’avais amenées 1 an et demi plus tôt (un porte crayon, un mug et une boîte de thé en sachets) et à 18h j’ai quitté un boulot pour lequel j’ai toujours eu l’impression gluante d’être victime d’une erreur de casting. Pour mon pot de départ, je ne suis pas arrivée déguisée en canard comme dans la…
Tu as vu ce titre qui déchire? c’est digne de la Une de Libé, non ? n’empêche que c’est quand même lié au programme de la semaine qui vient de s’écouler alors en voiture Simone c’est parti : Samedi : à une fête organisée dans un parc du quartier, j’ai goûté une part de carrot cake délicieuse…j’ai envoyé l’homme demander la recette à la personne anglaise qui les avait préparé mais a-t-il mal noté le mail ou le bout de…
…je suis revenue dans ce quartier où j’ai travaillé quelques années et qui a bien changé. La passerelle Simone de Beauvoir pour rejoindre le parc de Bercy n’existait pas, la piscine Joséphine Baker non plus et derrière la Bibliothèque Nationale de France, on voyait encore des voies ferrées désaffectées. Les tours qui marquaient le début et la fin de mes journées professionnelles n’ont pas bougé mais dans mon bureau, avec vue sur la Seine, les têtes ont peut-être changé plusieurs…
Cette semaine, malgré la reprise du rythme, du travail, des horaires, de la routine, j’ai eu l’impression d’avoir bénéficié d’une cure de jouvence : Samedi : j’ai rendu les clefs de la voiture de location sans une égratignure mais sans être plus capable que lorsque j’avais 18 ans de faire un créneau correct (il parait qu’il existe une voiture qui se gare toute seule, je la veux!)..j’ai tellement manœuvré que mon fils, qui a le mal des transports facilement, a…