677 pages ! quand j’ai commencé à lire Skippy dans les étoiles, je savais que j’allais mettre longtemps à arriver à la dernière page. Face à des pavés pareils, il faudrait avoir des longues plages de lecture dans la journée et je ne lis que le soir, quand les enfants dorment et que j’ai éteins l’ordinateur. Pour lire pas trop lentement un gros roman comme celui-ci, il faudrait l’emporter en voyage pour l’avancer dans le train ou profiter des transports…
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