Il a fallu que je lise récemment un polar qui se déroule en partie en Sardaigne pour que je me décide enfin à remettre le nez dans mes photos de l’été dernier à Cagliari et à partager un peu de ce séjour italien. C’est aussi peut-être pour patienter jusqu’aux prochaines vacances estivales. J’aurais pu écrire un billet « 10 jours à faire à Cagliari » (je finirais peut-être par ça d’ailleurs) mais comme j’aime prendre le temps dans la vie, que j’essaie…
Cagliari ressemble à une ville du Sud de l’Italie avec ses couleurs rose et ocre, son linge qui pend au fenêtre, ses nombreuses églises, avec ses mamies qui, à la fraîche, ouvrent grand la porte d’entrée pour faire sécher le sol qu’elles viennent de laver et qui échangent quelques mots avec leurs voisines. Ce qui m’a surpris, c’est alors que l’été est très chaud, l’omniprésence dans de nombreuses rues, de plantes sur les balcons, devant les maisons, sur les paliers.…
Je suis tombée totalement par hasard sur une rue que je cherchais pourtant. J’avais lu dans un guide qu’il existait à Cagliari une rue concentrant pas mal de street art dans le quartier de Villanova (probablement mon quartier préféré à Cagliari). Le guide ajouté que le visiteur risquait d’être déçu car il s’agissait surtout de graffs. Ce guide, je le trouve assez régulièrement, « ronchon », peu enclin à l’enthousiasme. Je ne sais pas si c’est sa ligne éditoriale ou si les…