Je n’ai pas de mémoire pour un certain nombre de choses et parmi ces choses, aucune pour les noms (alors que je me souviens très bien des visages). Ainsi lorsque j’ai vu « Fanny Ruwet » écrit sur la couverture du livre Bien-sûr que les poissons ont froid, je n’ai pas tilté. La couverture m’a plu, le titre aussi et encore plus le « pitch » à savoir « amour, humour et loose au temps du numérique ».Comme j’ai dévoré ce premier roman, je n’ai pas…
Il parait que lorsque Thomas Pesquet était dans le ventre de sa mère, cette dernière n’arrêtait pas de lui chanter « Aller plus haut, aller plus haut ». Ces paroles se sont tellement gravées dans l’esprit de cet enfant qu’il n’a eu qu’une idée dès qu’il a su marcher : aller dans l’espace. Ne racontez pas cette histoire au prochain réveillon de Noël, je viens de l’inventer. Marion Montaigne qui s’est glissée, le temps d’une bande dessinée, Dans la combi de Thomas…
Le mois de janvier ce n’est pas que le sentiment de semaines interminables, le gris sur le gris et les fameux coups de blues qui m’envahissent sans que j’arrive à les tenir à l’écart, c’est aussi la sortie des Cahiers d’Esther, histoires de mes 10 ans de Riad Sattouf. Bien entendu on est dans une veine bien différente de celle de L’Arabe du futur (que je vous conseille vivement si vous ne l’avez pas encore lu) mais on retrouve l’humour…
Hier soir, j’ai regardé en différé les deux premiers épisodes de la nouvelle série de Canal plus, The Big C, diffusée jeudi dernier. Cathy Jamison est une mère de famille ordinaire, enseignante dans un lycée, menant une vie sans histoire dans une banlieue tranquille et coquette de Minneapolis jusqu’au jour où elle apprend qu’elle est atteinte d’un cancer en phase terminale. Loin de se lamenter sur son sort, elle décide de faire voler en éclat son quotidien et de vivre…
crédit photo : les échos Dans ma vie professionnelle d’avant, parfois on venait me voir en me demandant quelque chose de drôle à lire (non je n’étais pas libraire) et un des noms auxquels je pensais immédiatement était celui de David Foenkinos. Après le potentiel érotique de ma femme, j’ai lu tous ses livres avec une préférence pour Nos séparations et La délicatesse. Les Souvenirs s’ouvre sur l’enterrement du grand-père de l’auteur et en quelques pages, on comprend que le…
Je sais j’ai un wagon de retard, un TGV entier même, tout le monde a déjà lu, chroniqué depuis belle lurette Joséphine, change de camp de Pénélope Bagieu. C’est ma faute si dans la bibliothèque de mon quartier il était toujours emprunté et si j’ai attendu patiemment mon tour sur la liste des réservations ? Ma patience a été récompensée car j’ai vraiment trouvé ce troisième volume juste et drôle…plus je le feuilletais, plus je me disais « mais cette fille…