Éruptions, amour et autres cataclysmes Deux raisons m’ont poussé à lire Éruptions, amour et autres cataclysmes : d’abord parce que dès que j’ai connaissance d’un roman islandais, j’essaie de me le procurer, ensuite parce que j’ai beaucoup aimé La lectrice disparue lu en poche et grâce auquel j’ai connu cette écrivaine. Éruptions, amour et autres cataclysmes : au début presque zéro sur l’échelle de Richter A celles et ceux qui ouvriraient ce roman et qui n’accrocheraient pas au début voire…
J’ai attendu plusieurs semaines avant d’ouvrir le dernier roman Mon sous-marin jaune parce que lire Jón Kalman Stefánsson est comme être témoin d’une aurore boréale pour moi. On a envie que ce moment ne finisse jamais, on s’y prépare pour mieux le savourer et puis on se dit qu’il faudra attendre peut-être longtemps avant d’en revoir une autre. Mon sous-marin jaune n’est pas mon titre préféré de Jón Kalman Stefánsson. Si vous me demandiez à l’instant précis par quel livre…
J’ai déjà déclamé ici mon admiration pour l’écrivain islandais Jón Kalman Stefansson et combien j’ai été subjuguée par sa plume avec Ásta et tous ses autres livres. Autant dire que lorsque j’ai appris qu’il publiait un nouveau roman, j’avais hâte de l’avoir entre les mains. Invité de l’émission La grande librairie sur le thème du bonheur pour Ton absence n’est que ténèbres (quel titre magnifique !), Jón Kalman Stefansson avait essayé de donner quelques éléments de réponse personnelle à l’éternelle…
La vérité, rien que la vérité, toute la vérité ? Si l’Islande me fait rêver avec ses paysages atypiques et sauvages, je suis une grande frileuse qui n’aime pas le froid. Alors j’ai trouvé une solution : la neige, les températures négatives, la glace, le vent, les terres quasi vierges, je les vis à travers les romans. Avec Vík de Ragnar Jónasson, me voilà transportée à quelques jours de Noël dans une contrée perdue, à l’extrême nord de l’Islande, à Kálfshamarsvík.…